La soumission d'un homme

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 8 ans

La soumission m'a toujours intéressé. J'avais lu plusieurs livres sur le sujet et bien entendu m'étais connecté sur les sites consacrés au SM, mais je n'avais jamais osé franchir le pas. Il y a maintenant 3 ans je me suis décidé à franchir le pas J'ai donc répondu à une annonce sur un site spécialisé.

Quelques jours plus tard j'ai reçu une réponse de Maîtresse EVE qui me dit bien vouloir prendre ma demande en considération. Elle me précisa qu'elle recherchait un soumis à plein temps et que les candidatures étant nombreuses elle testerait d'abord chaque postulant avant de faire son choix. La première rencontre ne se ferait qu'après quelques semaines pendant lesquelles elle me soumettrait à diverses épreuves.

Je m'empressais de lui donner mon acceptation.

Sa première demande fut que je lui envoie deux photos de moi nu.

Je pris deux photos que je lui envoyais. Sa réponse fut cinglante. Elle voulait de vraies photos prises dans un studio par un professionnel.

Pas simple comme demande car je ne sentait pas à l'aise pour faire ce genre de chose. Pourtant, ayant très envie de la satisfaire je me mis à la recherche d'un photographe qui accepte de la faire.

Après de nombreux refus, j'arrivais à trouver un photographe qui me donna rendez vous le samedi suivant à 19 h à la fermeture de son magasin. Je me présentait donc à l'adresse indiquée, pas trop à l'aise. Je fus reçu par un homme assez âgé, cheveux longs et gris.

Il me dit qu'il m'avait donné rendez à cette heure car il préférait être tranquille pour ce genre de photos.

Il me fit entrer dans l'arrière boutique ou se trouvait son studio de prise de vue et ferma le magasin.

"Déshabillez vous, pendant que je prépare l'atelier"

J'obtempérais, pas trop à l'aise de me mettre nu devant un homme que je ne connaissait pas.

"Je vais avoir un problème, me dit il, les marques de votre bronzage vont trop se voir et ce ne sera pas joli.

"Ce n'est pas grave je n'ai pas besoin de quelque chose de très artistique"

"Monsieur je refuse de faire des photos ainsi. J'ai une solution, nous allons maquiller les parties qui ne sont pas bronzée"

J'étais bien obligé d'accepter car je voulais absolument envoyer les photos à Maîtresse EVE

Il pris une boite de fond de teint ocre et commença à me l'étaler sur les fesses. J'étais gêné n'étant pas habitué à me faire tripoter par un homme. Il écarta même les fesses pour me poudrer la raie. Puis il passa sur le devant pour terminer son maquillage. Il pris ma queue en main pour faire le pli des cuisses. Il me sembla qu'il prenait un certain plaisir.

"Bon voila me dit il on va pouvoir commence, vous voulez une photo de face et une de dos m'avez vous dit"

"Oui c'est ça"

"Je vous propose de faire toute une série de cliché et je ne vous fait pas payer"

"D'accord"

Il pris tout d'abord les deux photos dont j'avais besoin et ensuite il travailla pour lui. En travaillant il m'expliqua qu'il aimait beaucoup les portraits d'hommes nus. Je suivais ses instructions et j'avoue que je prenais un certain plaisir à le faire. Il me fit prendre des poses de plus en plus érotiques puis me demanda :"j'aimerai avoir des photos de sexe en érection" Sans y réfléchir j'acceptais et me mis à me branler. Au bout de quelques instant ma bite fut bien raide. Il repris les pises de vue multipliant les gros plans de ma bite et de mes couilles, la prenant régulièrement en main pour l'orienter comme il le souhaitait.

La séance dura ainsi pendant presque une heure. Lorsqu'il eut terminé, il s'approcha de moi et pris ma queue et commença à me branler. Puis il se mit à genoux et pris ma bite dans la bouche et se mit à me pomper divinement. Très vite je sentis que j'allais jouir et essayais de me retirer. Il m'attrapa les fesses pour que je reste dans sa bouche. Je sentis ma bite de contracter et le sperme gicler. Il avala le tout et me lécha la queue pour bien la nettoyer. Je remis mes vêtement, gêné de m'être laissé aller ainsi et partis.

La semaine suivante je récupérais mes photos et les envoyais à Maîtresse EVE. Elle me répondit qu'elles lui convenait mais qu'elle n'acceptait pas les soumis poilus et qu'elle voulait que je sois entièrement épilé. Pour cela me dit elle je vais prendre rendez vous pour toi chez une esthéticienne.

Maîtresse EVE était à la recherche d'un soumis. Elle testait plusieurs candidats depuis quelques semaines. J'avais la chance d'avoir été retenu dans sa liste. Elle m'avait demandé de lui envoyer des photos sur lesquelles j'étais nu. Je m'avais fait, d'ailleurs le photographe, qui était homo m'avait sucé. A la réception des photos elle m'avait demandé d'être intégralement épilé et avait pris rendez vous pour moi dans un institut.

Le jour dit, je me présentais à l'institut de beauté très inquiet de savoir ce qui allait se passer. Une jeune femme se tenait derrière le comptoir et deux clientes attendaient.

"Bonjour, que puis je pour vous,3

Je m'approchais et dit à voix basse "Je suis Monsieur C et j'ai rendez vous"

"Oui effectivement, c'est Madame EVE qui a pris ce rendez vous"

Elle se retourna et dit à voix haute :"Caroline, ton rendez vous pour l'épilation intégrale est arrivé"

Je me mis à rougir, les deux clientes avaient parfaitement entendu.

Quelques instants plus tard une petite femme brune vint me chercher.

"Nous allons dans la cabine 2"

Arrivés dans la cabine elle me dit :"Allez, mettez vous tout nu et allongez vous sur le dos"

Pendant que je retirais mes vêtements elle resta devant moi pour me détailler.

"Bien, je vais commencer par le torse et les jambes, je les fais à la bande de cire, pour le sexe c'est à la cire mais elle n'est pas encore assez chaude"

Elle me passa un gel adoucissant sur le torse puis appliqua les bandes de cire, y colla des morceaux de papier qu'elle arracha d'un coup sec. Au bout de 5 minutes j'avais le torse rouge. Lorsqu'elle eu terminé elle me mis une crème apaisante et continua l'opération sur les jambes.

Arrivée en haut des cuisses elle pris ma bite en main pour l'écarter afin de terminer le pli de l'aine.

"Bon, on va faire le maillot, je vous préviens c'est un peu plus douloureux"

Elle me passa également du gel ce qui commença à me faire bander.

"C'est bien de bander, me dit elle, comme cela c'est plus facile pour tendre la peau.

Elle pris une spatule et appliqua une couche de cire sur le pubis. La chaleur était supportable. Lorsque la cire se fut un peu refroidie elle l'arracha d'un coup sec et posa la main sur le pubis pour calmer la douleur.

Au bout de quelques minutes mon pubis était lisse comme celui d'un bébé.

"Maintenant on va attaquer la base se la verge. Elle pris ma queue à pleine main et la tira vers le haut puis l'enduisit de cire"

A ce moment la porte s'ouvrit. SA collègue entra dans la cabine, le regard fixé sur ma bite enduite de cire.

"Je viens chercher un pot de démaquillant, je n'en ai plus.

Rapidement la base de queue fut débarrassée de ses poils.

"Il ne reste que les bourses"

Celles ci subirent le même sort. Elle étirait la peau de mes couilles pour bien appliquer la cire. Malgré la chaleur et la douleur je bandais toujours.

Lorsqu'elle eut terminé elle pris une pince à épiler pour arracher les derniers poils.

"Bon voila qui est parfait". ELLE appliqua de nouveau de la crème sur les couilles et la queue. Je voyais bien qu'elle en faisait plus que nécessaire, sa main remontant jusqu'au gland qu'elle enduisait aussi de crème.

Je bandais de plus en plus et sentait ma bite qui tressautait sous ses doigts.

Je pensais que j'allais pouvoir me retenir et que la séance était terminée.

"Bien maintenant il reste le sillon inter fessier, si cela ne vous dérange pas mettez vous à quatre pattes les jambes écartées."

"Non comme vous voudrez"

Je me retournais donc et me mis dans cette position humiliante. Ce n'était pas pour me déplaire de me retrouver ainsi le cul offert devant cette personne.

J'eus de nouveau droit au gel sur la raie des fesses. Elle insistat bien sur la rondelle, puis me mis une couche de cire. Vu ma position, je commençais à débander. En quelques minutes je fus aussi tout lisse de ce coté.

"Très bien, j'ai terminé, vous êtes tout lisse comme un bébé, EVE sera satisfaite. Avant de vous laisser partir, je vais vous applique une lotion anti repousse des poils.

Elle pris un flacon et commença à m'étaler le produit sur le corps. Arrivé au sexe, les gestes se firent plus caressant et ma bite se redressa.

"le produit vous fait de l'effet on dirait"

Elle continuait à faire des va et viens sur ma queue qui était maintenant toute raide.

En tournant la tête je m'aperçus que la porte était entr'ouverte et que sa collègue matait.

Cela me fit bander encore plus fort et je sentis la jouissance arriver

Elle s'en rendit compte et pris ma bite en bouche pour avaler toute ma semence.

"Ce n'était qu'un petit supplément gratuit" me dit elle.

Je quittais la boutique rentrais chez moi et envoyais un message à Maîtresse EVE pour l'informer que l'épilation était faite"

"Je le sais me répondit elle, Caroline m'a téléphoné pour m'en informer. Maintenant, tu es prêts, je te convoques vendredi à 19 h précises. Tu resteras 24 heures. Je te donnerais l'adresse ainsi que les instructions pour ton séjour. Tu recevras un courrier dans 2 jours.

J'étais à la fois heureux et angoissé de me retrouver devant Maîtresse EVE. Il me restait une semaine à attendre.

Depuis quelques semaines j'étais entré en contact avec Maîtresse EVE qui recherchait un soumis à temps complet.

Elle avait passé une annonce et sélectionné plusieurs candidats.

Dans les deux premiers épisodes j'ai raconté ma préparation (envoi de photos et épilation intégrale)

J'étais convoqué pour le vendredi suivant.

Le mardi je reçus une enveloppe contenant ses instructions.

Je devais me présenter à 19h , sonner au portail et dire "Bonjour Maîtresse, je suis soumis 7".

Ensuite je devais rentrer ma voiture, me mettre entièrement nu et me rendre dans une grange qui serait éclairée.

Il fallait ensuite que j'attende dans la première pièce ou je devais rester debout, le dos à la porte en l'attendant.

Je ne dormis pas beaucoup le reste de la semaine, me posant mille questions, à la fois espérant et redoutant l'instant ou je la rencontrerai.

Le vendredi après midi je quittais tôt mon domicile pour ne pas être en retard. A 19 h pile je sonnais au portail.

Quelques instants plus tard, j'entendis l'interphone.

"Bonjour Maîtresse, je suis soumis7"

Aussitôt le portail glissa sur ses rails. Je remontais en voiture et pénétrais dans la propriété.

Nous étions en février et il faisait nuit noire.

A la lumière des phares je vis une grande maison de maitre et une grange sur la gauche.

Je descendis de la voiture, me mis tout nu comme demandé et me dirigeais vers la grange. J'entrais.

La pièce était assez petite, éclairée de bougies. Le seul meuble était une grande armoire.

Je me mis au milieu de la pièce, dos à la porte comme elle me l'avait demandé.

Il se passa au moins une demi heure avant que je n'entende des pas dans l'allée. Mon pouls s'accéléra.

J'entendis la porte s'ouvrir puis des talon claquer sur le carrelage.

Elle fut enfin devant moi.

J e la regardais intensément. Mal m'en a pris car aussitôt je reçu une gifle. "Tu dois baisser les yeux devant ta Maîtresse, tu n'ai autorisé à me regarder qu'avec mon autorisation"

Je baissais les yeux et dit "Pardon"

Une seconde gifle partit :"pardon qui?"

"Pardon Maîtresse"

"C'est mieux, bon voyons ce sujet"

Elle me tourna autour m'observant comme un maquignon, elle me fit me baisser et écarter les fesses.

"Bien tu t'es préparé comme il faut, je suis contente de toi."

"J'ai l'habitude de donner un nom à mes soumis. Pour toi, vu la taille de ton engin se sera petite bite, ça te convient?"

"Oui Maîtresse"

"Pour ce week end je vais tester ta résistance, ta capacité à obéir et évaluer ta motivation".

Elle alla dans l'armoire et revint avec un collier, laisse et une cagoule en cuir qu'elle me passa.

"Ici c'est mon donjon, je vais te le faire visiter"

Elle pris la laisse et me tira sans ménagement derrière elle.

Un grand couloir séparait la grange en deux.

Dans la première pièce se trouvait une vaste salle de t o r t u r e . Sur le mur du fond, un croix de Saint André, au centre un cheval d'arçon et une roue montée sur pivot, dans un angle une chaise percée et à côté une sorte de table de massage.

Sur les étagères se trouvaient de nombreux accessoires : cordes, godes, pinces, poids, martinet, fouets et cravaches. Au plafond pendaient des chaines

Elle m'entraina dans la seconde pièce. La décor complètement différent : c'était la salle médicale : Table gynécologique, armoire en verre remplie d'instruments...

Puis nous sommes passés dans la troisième pièce : c'était la nursery. Elle était aménagée comme une chambre de bébé avec des meubles de grande taille et une table à langer.

"Bon nous allons terminer par les cellules"

Dans cette dernières pièce se trouvaient 4 cages de différente dimensions dont l'une était suspendue au plafond.

Je m'aperçus que la plus petite cage était occupée par un homme, nu, encagoulé, un collier autour du cou.

"C'est soumis 6, il termine son séjour, il repart"

Elle ouvrit la cage et l'homme en sortit à quatre pattes.

"Debout connard"

Il s'empressa de se relever. Je vis qu'il avait une bite très longue et des couilles énormes.

Elle nous ramena en laisse jusque dans la première pièce.

"Bon numéro 6 tu vas partir, je te contacterai. Comme tu as été assez sage tu as le droit à une récompense.

Petite bite, à genoux et suce le"

Je n'avais jamais sucer un homme mais ne voulant déplaire à Maîtresse EVE je me mis à genoux, pris sa bite dans la main et la mis en bouche.

"Applique toi bien et suce le à fonds"

Je fis de mon mieux, sa queue commençait à durcir et je la sentais qui venait me taper au fond de la gorge. Je suçais cette queue qui n'arrêtait de grossir, passant la langue sur son gland au bout duquel une petite goutte perlait.

Je n'était tout compte fait pas désagréable et je commençais à bander

Il avait du faire abstinence depuis longtemps car il se mit rapidement à grogner et il gicla très vite et très fort.

Maîtresse EVE m'appuya sur la t^te pour que je garde cette bite dans la couche

"Avales son foutre petite bite"

J'avalais son flot de sperme, un peu acre mais malgré pas désagréable.

"Bon numéro 6 fiche le camp"

Il quitta la pièce après qu'elle lui eut retire le collier et la cagoule.

Maîtresse EVE se retourna vers moi :"dis moi ça a l'air de t'avoir fait de l'effet ma salope. Je ne t'ai pas autorisé à bander, donc tu vas être puni"

Elle m'entraîna vers la pièce principale.

Peu après mon arrivée elle m'avait fait sucer un soumis, ce qui m' avait fait bander

Comme je n'y étais pas autorisé Maîtresse EVE m'a infligé une punition.

Elle m'entraina dans la grande salle de son donjon et me lia le buste sur le cheval d'arçon, jambes écartées le cul offert. Je la vis prendre un martinet et s'approcher de moi.

Elle commença par me caresser les fesses et me dit: "Petite Bite tu n'as pas le droit de bander sans mon autorisation. Ta punition sera de 20 coups de martinet. Tu compteras les coups"

Les lanières du martinet me cinglèrent les fesses. Je me mis à compter à voie haute. Je sentais mon cul s'échauffer au fur et ma mesure que les coups devenaient plus appuyés. Au vingtième coup, mon cul n'était plus que douleur. Elle cessa et me dit :"Je ne t'ai pas entendu me remercier"

"Merci Maîtresse"

"C'est un peu tard tu en auras 5 supplémentaires"

Plutôt que de frapper le cul, elle se mit derrière et moi et me frappa entre les cuisses. Les lanières du martinet vinrent me frapper la bite et les couilles. Instinctivement je me mis à compter. Au cinquième coup elle s'arrêta.

"Merci Maîtresse"

"je vois que tu commence à comprendre. C'est terminé pour ce soir, demain tu auras une longue journée. Comme tu as eu bien chaud au cul, tu es autoriser à boire. Prends ce verre et bois le.".

CE N'ETAIS PAS DE L'EAU MAIS LE GOUT ETAIT AGREABLE

Elle me défit les liens et m'entraina vers la salle aux cellules.

"Tu dormiras ici cette nuit. Je vais mettre ta petite queue en cage pour que tu ne te branles pas cette nuit. Elle prit une cage et métal, passa l'anneau à la base de mes couilles, fit glisser la cage sur la bite et referma avec un cadenas.

Elle me fit retourner vers un miroir. "Regardes ta petite bite comme elle est mignonne dans sa cage"

"Tu auras sans doute envie de pisser cette nuit et pour que tu ne salisse pas ta cellule, je vais te mettre une couche.

Elle me fit enfiler un change pour adulte et me poussa dans une cellule dont elle referma la porte avaec un gros cadenas.

"Bonne nuit, petite bite."

Elle partit en éteignant la lumière.

J eme retrouvais seul et repensais à ces premières heures avec Maîtresse EVE.

J'étais heureux d'avoir subit une correction sans broncher et de me retrouver humilié à la merci de Maîtresse EVE.

La cellule était petite et je ne pouvais m'allonger. Il ne faisait pas très chaud et j'avais juste une couverture pour me couvrir.

Environ 30 minutes après le départ de Maîtresse EVE, la lumière se ralluma. "Va elle revenir?" Quelques instants plus tard, je fus de nouveau dans le noir. Ce fut ainsi toute la nuit ou toutes les demi heures la lumière se rallumait. Je ne pus guère dormir d'autant que, n'ayant rien mangé depuis la veille, je commençais à avoir faim.

Au bout d'un moment je commençais aussi à avoir envie de me soulager. Je me retenais au maximum, sentant bien que si je mouillais ma couche, j'aurais droit à une nouvelle punition.

Malgré tout au bout de plusieurs heures j'inondais ma couche. Je sentais la pisse me remonter jusqu'au feeses qui déjà me brulaient après la fessée que j'avais reçue.

Après de longues heures pendant lesquelles je dormis à peine, la porte s'ouvrit.

"Bonjour Maîtresse" dis je.

"Bien , petite bite, je vois que tu apprends vite. Elle ouvrti la cellule et me fit sortir.

Elle passa la main dans la couche et cria : "Petite salope tu as pissé partout, tu sais ce que ça signifie"

"Oui Maîtresse, une punition"

Elle m'entraîna et je me retrouvais dehors, dans le froid, seulement vêtu de ma couche. Elle s'approcha me moi et m'arracha le change.

"Suis moi, tu vas te laver, j'ai horreur des petites salope qui puent la pisse"

Elle me fit avancer vers un évier métallique et ouvrit le robinet.

"Prends le savon et le gant de toilette et laves toi, approches, je vais enlever ta cage pour que tu puisse astiquer ta misérable queue"

Bien entendu l'eau était glacée et je m'exécutais en tremblant de

froid. Il n'y avait de serviette et je restais la, trempé, e,n attendant que Maîtresse EVE veuille bien me faire rentrer.

Je restais ainsi un long moment. Il faisait tellement froid que ma queue s'était complètement recroquevillée et ne mesurait pas plus de 2 centimètres. Cela la fit rire, elle qui avait bien chaud dans son grand manteau de fourrure.

"Viens maintenant, je vais te donner ta punition et ensuite je testerais tes capacités physiques à devenir soumis.

Elle m'entraîna de nouveau dans le donjon et m'attacha, face à elle à la croix de Saint André.

Cette fois elle pris un fouet à longue lanière.

"Ce sera 25 coups, àa te conviens, petite bite"

"Oui Maîtresse, merci"

Elle commença à me fouetter le torse et descendit peu à peu vers le ventre. Les coups pleuvaient à cadence régulière et je les comptais malgré la douleur.

Au vingtième coup elle cessa.

"Je réserve les 5 derniers pour réchauffer ta petite bite et tes petites couilles.

Sa main s'éleva et le fouet me cingla la queue. Un énorme douleur se répandit dans le ventre. Malgré tout je continuais de compter.

Au dernier, je m'empressais de la remercier.

"Bien petite bite tu as bien supporté, je suis contente de toi"

je la remerciais de nouveau.

J'étais heureux de lui avoir fait plaisir et d'avoir supporté la souffrance.

Elle me détacha et alla s'installer dans un grand fauteuil.

A genoux, petite bite, et garde les yeux baissés. Je vais t'interroger et ensuite on passera aux exercices pratiques". Elle se mit à rire.

Je craignait le pire et n'en menait pas large. Cependant j'étais partagé entre la crainte de ce qui m'attendait et le plaisir de souffrir pour ma Maîtresse et de lui faire plaisir.

Après ma première nuit passée chez Maîtresse EVE et ma première punition du matin car j'avia pissé dans ma couche, elle m'entraîna dans la grande salle du donjon.

"A genoux petite bite".

Elle était assise dans un grand fauteuil face à moi.

"Je vais t'interroger afin de connaître ton expérience de la domination et ta motivation pour entrer à mon service."

Ces propos furent suivis d'une liste de questions auxquelles je m'eff o r ç a is de répondre le mieux possible.

J'avais peur de ne pas être à la hauteur car je n'avais aucune expérience de la domination.

Elle ne fit aucun commentaire sur mes réponses.

Elle me releva en tirant sur ma laisse et m'installa, face à elle sur la croix de Saint André.

Elle pris mon téton droit entre les doigts et le malaxa avant d'y attacher une pince. Je serrais les dents pour ne pas gémir. Elle fit ma même opération sur le téton gauche. Les deux pinces étaient reliées par une chaine qu'elle s'amusa à tendre, étirant mes tétons. La douleur irradiait tout ma poitrine mais elle me paraissait agréable.

"Je vais m'occuper de ta misérable bite"

Elle em prit queue et me branla pour la faire grossier.

Puis elle prit une nouvelle pince qu'elle y fixa. La pince me meurtrit. Le poids de la pince tendit ma bite vers le bas.

Elle saisit deux nouvelles pinces qu'elle mit à mes couilles.

Puis elle attacha des poids aux chaines qui pendaient aux pinces. Je sentais la peu de mes couilles et de ma bite s'étirer.

"100 grammes à chaque pince" dit elle "Ce n'est pas beaucoup, on va augmenter le poids"

Avec un petit rire elle prit de nouveaux poids qu'elle attacha.

Au bout d'un moment je me mis à gémir.

"Petite nature il y a à peine 1 kilo, je ne veux pas t'entendre.

Elle pris un bâillon boule qu'elle mit dans ma bouche et l'attachat derrière la tête. Ainsi harnaché, je ne pouvais plus parler.

Elle se penchât vers mon sexe et recommençât à le lester. Au bout d'un moment la douleur devint insupportable et je me tortillais sur la croix.

"2 KILOS ce n'est pas mal, regardes comme tu es mignon.

Elle ouvrit un rideau placé en face de moi. Derrière se trouvait un miroir. Je vis mes couilles et ma bite étirés par les poids. Elle se mit à faire balancer les poids, je voyais mon sexe s'agiter.

"Bon passons à autre chose".

Elle retirât les pinces. La douleur était encore plus forte. Je fus détaché de la croix.

"Avance au milieu de la pièce et allonges toi sur le dos, jambes écartées".

Je m'empressais d'obéir de peur de subir une nouvelle punition. Deux bracelets de cuir furent fixés à mes chevilles. Elle pris deux chaînes qui pendaient du plafond et les attachât aux bracelets. Un moteur se mit en route, les chaînes se tendirent et je me retrouvais rapidement suspendu par les pieds, cuisses écartées. Sa main glissât entre mes fesses et je sentis un liquide s'insérer dans mon cul.

"Je vais décorer ton petit cul avec une jolie bougie"

La bougie forçât mon petit trou elle prenant un briquet, elle l'allumât. Je voyais dans le miroir en face de moi la bougie enfoncée dans mon cul. Elle pris une seconde bougie et attendit que la cire fonde un peu. Puis elle fit couler la cire sur les couilles. Je ressentis une intense brûlure. Ce supplice durât plusieurs minutes, ma bite et mes couilles étaient couverts de cire. Le plus atroce fût quand elle fit couler la cire sur le gland qu'elle avait pris soin de décalotter. En plus la bougie dans mon cul avait fondu et la cire me coulait sur la raie des fesses. Au bout d'un long moment elle arrachât la bougie qui était dans mon cul et me fit redescendre.

"Tu as de la chance on va en rester là pour ce matin, j'ai envie de déjeuner, tu vas me servir".

Elle me détachât, me permis d'enlever la cire collée sur ma bite, mes couilles et mon trou du cul, et, toujours en laisse me fit sortir. Bien entendu j'étais toujours nu et le froid glacial me fit frissonner.

"Avant de rentrer tu vas aller pisser" Elle me tirât jusqu'au fonds du parc. ou se trouvait une sorte de cabanon sans porte.

"C'est les toilettes des soumis"

Je rentrais. Il n'y avait qu'une planche percée au milieu. Je pris ma queue pour pisser comme elle l'avait demandé.

"Les soumis pissent assis comme des petites putes"

J'obéis et fis mes besoins sous ses yeux. Puis nous elle m'entraînât vers la maison. Il faisait si froid que ma queue s'était de nouveau rétractée et dépassait à peine de mon pubis.

"J'ai bien fait de t'appeler petite bite, regarde comme elle est ridicule. Maintenant tu vas me servir à manger, si tu est sage tu auras peut être le droit de manger aussi."

Elle m'entraînât vers le salon et s'assit dans un grand fauteil.

"Prends le tablier et mets le"

J'obéis. J'avais l'air ridicule avec ce tablier de soubrette qui bien entendu ne me cachait pas les fesses.

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